Speler Shandala plaatste een bericht op 12/12 21:28 op het MadLotto Forum: Gewoon een illusie.......... Beantwoord hem op MadLotto en ruil met andere spelers

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onderwerp:  Gewoon een illusie.........
Shandala
22/12/2003 03:27:46

Op woord de paginering is zeer goed,
sorry niet te hebben beantwoord sneller,
maar gezondheidsproblemen mijn verre van
mijn pc, tot groot genoegen

Megaas2002
91 
19/12/2003 21:09:22

Naar mijn mening moet je op zoek gaan naar een
uitgever om een compilatie te maken van alle
gedichten! Omdat de paginering niet
geweldig is, denk ik niet dat veel
lezers de tijd en
moeite nemen om ze allemaal te lezen. Probeer de offerte in
te vullen..... het zal leuker zijn. Misschien
delen we meer dingen. 😉

Shandala
12/12/2003 21:28:19

Juste une illusion, un moment de confusion,
assise sur ce coin d'herbe, je regarde dans
les airs, ce spectacle, un mirage, tu es
là, plein de grâce, à me tendre les mains,
m'attirer ver toi, me blottir, m'endormir,
pour enfin oublier.

Cette triste journée, ou perdu dans le
noir, le coeur plein de désespoir, au bord
de ce gouffre, il suffisait d'un souffle,
pour me perdre à jamais, et ne jamais
rencontrer, ce visage enchanté, qui
illumine ma vie, d'une douceur infinie, mon
amour, pour toujours.

Un sourire au coin des lèvres, un jeune
homme sorti d'un rêve, je te regarde, que
tu te dévoile, le regard volant au vent,
marchant, virevoltant, qu'il est beau sous
le soleil.

Une fine pluie tombe, juste le temps de
voir une ombre, il a disparu au coin d'une
rue, à entendre mon coeur qui bat, je sais
que c'était toi. Une fois encore je ne t'ai
vu, demain peut-être, si le temps le
permet. Je cours, je cours comme une folle
essayant de fuir se doute qui me poursuit
jour et nuit dans un silence.

Aucun cri comme souvent le soirs, il était
là dans le noir, mais maintenant je me sens
seule tes pas qui résonnent, J'ai beau
cherché, chercher, chercher d'un coup il
s’est envolée, Le reverrai-je un jour, je
cours, je cours comme une folle. Sur ce
papier blanc glacé il fait bon respirer,
mes doutes, mes pensées, mots après mots,
lignes après lignes, je les assemble pour
qu'elles me ressemblent.

Un éclair déchire la nuit, une ombre sur le
balcon danse sous la pluie, il est tôt
presque 03:16 ce matin du vendredi 10
décembre, je te regarde tournoyant plein de
vie, avec pour seul vêtement ta nudité, ton
corps mouillé est un vrai plaisir, laissant
paraître ton corps arrondis, aux avantages
de plus d'un délice, comme tu es beau à te
voir ainsi.

Heureux d’entendre tes rires, je m'approche
sans faire de bruit, et au moment de te
saisir, Le balcon est de nouveau vide, et
me voilà trempée moi aussi. Mes paupières
sont lourdes et se ferme, au gré d'un
détour d'un rêve, profond séjour parmi les
immortels, combattante avec bravoure pour
le roi, protégeant Camelot et ses tours des
mercenaires, armant des troupes pour la
guerre, la mort tue à grand coup des hommes
fiers.

Un nuage passe, un ange rame, une fée
chante, un bébé danse, ainsi passe la vie,
ainsi passe la nuit, doux et heureux,
chaleureux, je descends les marches pour
aller ver toi, mon coeur bat devant cette
porte, je n'ose l'ouvrir, de peur de
souffrir, de cet instant, ce moment, ou
enfin je vais découvrir, un sourire, une
brise, qui réchauffera mon coeur en douleur.

Mais rien, une fois de plus, je suis venue,
mais au fond de moi, je sais pourquoi,
parce que tu existe petit à petit, je
t'imagine, je te dessine, du soir à
l'aurore, pour que je t’aie là, je t'écris
aussi, avec des mots mis en musique, pour
t'attirer dans ma toile d'araignée, et te
croquer par le verbe aimer.

Blond, brun, rond, en forme de prune, peut
m'importe, du moment qu'au moment ou
j'ouvre la porte, je te vois, alors... peut-
être que demain, au petit matin, avant que
je ne sorte, je regarderai, cette boite aux
lettres, peut-être aussi que je n'existe,
que par ces proses à l'eau de roses, au
goût merveille d'une mirabelle, écris par
une femme, qui n'a jamais vraiment vécue,
sans doute une oubliée de l'éternité.

Un petit matin triste, un ciel un peu gris,
toi, encore endormi, te levant du lit, sans
faire de bruit, je m’assois, pour
m'assoupir, plongeant dans l'oubli de mes
rêves enfouis, au loin une voix se fait
entendre, Je crie mon besoin de me faire
comprendre, je chante à grand bruit de
tambour, mon envie de connaître l'amour, il
bouleverse mon coeur, il me donne du
bonheur.

Ma joie est grande aujourd'hui, même si,
toujours tombe la pluie, le temps n'a plus
d'emprise sur moi, puisque enfin tu n’es
pas loin de moi, je suis près



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